Avec son ambiance minimaliste et sa silhouette simple, la réplique parfaite réinterprétée de Cartier Baignoire est en partie bracelet, en partie montre et fait référence à des moments clés de l’histoire du design de Cartier. Conçue à l’origine en 1912, on pense généralement que la Baignoire tire son nom du mot français pour baignoire, mais elle fait en fait référence aux sièges VIP de l’opéra. « C’était là que s’asseyaient les riches », explique Pierre Rainero, directeur de l’image, du style et du patrimoine de Cartier. « Il y avait six sièges ensemble, avec une sorte de barrière autour d’eux. »
La nouvelle montre Cartier Baignoire
Réinventée à maintes reprises depuis sa création, la réplique 1:1 actuelle de Cartier Baignoire souscrit à la poésie de la réduction dans son jeu élégant avec des formes géométriques précises. Conçue pour être portée le plus près possible du poignet, la face plate est une feuille élégante pour les contours du bracelet. Le design « est lié à notre culture de joaillier », explique Rainero. « Quand tu es bijoutier, [tu réfléchis] à la bonne adéquation au corps, et au-delà, à la façon dont un objet que tu as sur le corps accompagne tes mouvements, donc ce n’est pas une contrainte, mais au contraire, il ajoute de la magnificence à votre mouvement. C’est la clé. C’est l’essence même d’être un bijoutier, et dans notre façon de créer des montres de copie de qualité AAA, nous l’avons toujours à l’esprit – c’est une seconde nature et il est évident pour nous de rester fidèle à cela.
La nouvelle réplique bon marché de Cartier reste fidèle à la forme propre et dorée de l’original. L’accent mis sur un ajustement parfait se traduit par une fusion de formes élémentaires ; Pour maintenir le boîtier au plus près du poignet, la boucle du bracelet a été conçue comme un cercle fluide à part entière, découpant une silhouette élancée.
«Nous avions différentes propositions avec différents volumes, et c’est le problème – vous ne pouvez décider que lorsque vous avez le prototype; ce n’est pas quelque chose que vous décidez sur la base d’un dessin », ajoute Rainero. « Il faut avoir un volume dans la main pour se rendre compte de l’effet qu’il aura. La courbe est légèrement différente de celle du boîtier ; ça ne pouvait pas être exactement pareil. Vous devez avoir l’impression qu’il est à plat sur le poignet sous le bracelet. C’est pourquoi la courbe ne va pas jusqu’au bout, c’est une question de proportions.